Révolte consommée : le mythe de la contre-culture
- Auteur
-
- Type de support matériel
-
Livre
- Résumé
-
Une analyse des mouvements culturels contestataires de la société de consommation des trente dernières années. Les auteurs montrent comment le capitalisme les récupère pour créer de nouveaux marchés. Selon eux, la théorie de la société sur laquelle repose l'idée de contre-culture est erronée. Ils proposent de nouvelles pistes de réflexions sur le rôle de l'Etat. Electre 2020
-
- Langue originale :
-
english
-
- Traducteur :
-
-
- Public :
-
Grand public
-
- Langue :
-
français
-
- Dimensions :
-
21 x 14 cm
-
- Importance matérielle :
-
1 vol. (363 p.)
-
- ISBN :
-
978-2-37309-068-0
-
- EAN :
-
9782373090680
-
- Dans la collection :
-
Pour en finir avec
- Informations sur l'édition :
-
9782373090680
-
- A pour sujet
-
« Cela fait maintenant un certain temps que les rebelles contre-culturels produisent de la musique subversive, de l'art subversif, de la littérature subversive, des vêtements subversifs, de même que les universités regorgent de professeurs qui diffusent des idées subversives. Tant de subversion, et pourtant le système semble très bien la tolérer. »
Malgré tous ses efforts pour paraître subversive, la contre-culture n'a pas seulement été inefficace dans sa lutte contre le capitalisme, elle lui a fait faire ses plus grands bonds en avant : création de nouveaux segments de marché, triomphe de l'individualisme, dissolution des structures collectives, exaltation de toutes les formes de consumérisme, fabrication d'un conformisme rebelle... Les auteurs ébranlent de manière argumentée et précise, parfois provocatrice, nombre de certitudes sur la nature du capitalisme et le sens du combat contre celui-ci. Une lecture résolument à contre-courant.