« J'avais connu Tsugugi bien avant la guerre, à Paris, à Montparnasse bien sûr. Durant cette laborieuse course à la recherche de sa maisonnette, j'avais eu le temps de me remémorer de piquants épisodes de nos naissantes et modestes relations de cette époque d'alors. Par exemple, je me souvenais du Foujita appartenant corps et biens au Montparno des années trente. Un jour, en période de carnaval, je l'avais accompagné au bal travesti au célèbre Bullier. il était moulé dans un collant rose bonbon. Il portait dans le dos des ailes blanches déployées. Il tenait ainsi de l'angelot et l'homme- oiseau. Ses lunettes d'écaille, sa frange de cheveux gominés d'un noir de geai bien alignés sur le front, il était vraiment cocasse, ce Foujita-là. »