La nef de Géricault
- Auteur
- Type de support matériel
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Livre
- Résumé
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1818. De retour d'Italie, le jeune Théodore Géricault, fasciné par le récit d'Alexandre Corréard et d'Henri Savigny sur le naufrage de La Méduse, peint une toile qui devient le célèbre tableau Le Radeau de La Méduse.
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- Public :
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Grand public
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- Langue :
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français
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- Dimensions :
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21 cm
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- Importance matérielle :
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307 p.
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- ISBN :
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978-2-260-05667-6
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- EAN :
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9782260056676
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- Dans la collection :
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Roman
- Informations sur l'édition :
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Bibliogr. ,
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9782260056676
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- A pour sujet
Géricault a vingt-six ans quand il entreprend de mettre en scène un fait divers retentissant : le naufrage de La Méduse qui a eu lieu, deux ans plus tôt, en 1816. Géricault ose ! Il joue sa vie qui sera courte sur un tableau géant. Il affronte, seul, la toile blanche qu'il vient d'acheter, cinq mètres de haut et sept de large. C'est un défi, une invraisemblable prouesse dans l'atelier parisien du Roule. Entre 1818 et 1819, il se bat avec ses démons. C'est la fin de la passion clandestine qui le lie à sa tante par alliance, Alexandrine. Le radeau est d'abord un naufrage intime avant de devenir politique. Géricault fait parler les rares témoins survivants de la catastrophe qui se succèdent, les modèles souvent célèbres dont Eugène Delacroix. La nuit tombe, Géricault vient regarder sa journée de travail, ses esquisses, ses portraits. Son corps-à-corps avec le chef-d'oeuvre l'épuise. Il est dévoré par le doute. Il meurt en ignorant que le Louvre va acheter, enfin, la Nef de sa folie clairvoyante. Le Radeau de la Méduse que le monde entier vient aujourd'hui contempler.