Un e-mail contenant une improbable invitation à des funérailles avec deux décennies de retard bouleverse la vie de Toma, un architecte anxieux de Bucarest. Bien qu'étrange, le message lui offre l'opportunité de retrouver à Constanta ses amis du lycée qu'il n'a pas vu depuis longtemps. Avec onze démissions en dix ans, une situation familiale tendue et des problèmes de santé, il ne peut laisser passer l'occasion de changer d'air. A l'heure et au lieu convenus, tout s'avère n'être qu'un canular, mais l'ancienne bande, à l'exception de l'un d'entre eux, est de nouveau réunie. S'en suit une soirée pomina, commencée dans un bar et terminée au cimetière, ponctuée de révélations sur chacun d'eux. Personne ni rien n’est ce qu’il semble être, et des retournements de situation apparaissent à chaque coin de rue. Dans Je veux bien entendre, Toma raconte son histoire avec auto-ironie et beaucoup d'humour noir - une histoire sur le spectre omniprésent de la mort, sur des succès qui cachent des échecs inimaginables et des secrets qui peuvent détruire des vies. (couverture souple)